La deuxième série, « Aujourd’hui », observe notre époque.

Les jours s’écoulent dans un décor familier. Nous répétons les mêmes gestes, nous ancrons nos habitudes, nous traversons les villes en silence.

Ici, l’ordinaire bascule imperceptiblement. Les personnages sont là, bien présents, mais jamais vraiment ensemble. Les regards se frôlent à peine, les corps coexistent sans se toucher. La solitude s’installe partout : dans les chambres, dans les rues, dans les cafés, même quand on n’est pas seul.

Tout semble suspendu dans une attente : celle d’un changement, d’une décision, d’une rupture qui tarde à venir.

AUJOURD’HUI interroge notre présent. Il le révèle dans ce qu’il a de banal, de beau, parfois de vide, mais aussi de profondément humain.

C’est un monde que nous reconnaissons, mais légèrement décalé — comme un rêve qu’on aurait presque oublié.